Douze associations disent NON à Sarkozy
Dans Politis d'aujourd'hui, douze associations expriment leur refus de Sarkozy et de la menace qu'il représente.
* Pour Jean-Pierre Dubois, président de la Ligue des Droits de l'Homme, "l'amplification de la politique de Sarkozy serait un cauchemar" et il est urgent de voter "contre le candidat qui veut confisquer les libertés, réduire l'égalité aux privilèges de quelques-uns et la fraternité aux plus forts".
* Pour Didier Ménard, président du Syndicat de la Médecine Générale, "Nicolas Sarkozy met la santé pour tous en péril", en voulant instaurer de nouvelles franchises qui réduiraient encore les remboursements de médicaments.
* Pour Évelyne Perrin, d'Agir ensemble contre le chômage, il faut dénoncer la précarisation qu'entraînerait le "contrat unique" de Sarko : ce serait "un recul sans précédent en matière de droit du travail", et une véritable "casse sociale".
* Pour Nathalie Ferré, présidente du GISTI, l' "immigration suble" du candidat sortant "institue une catégorie d'êtres humains nuisibles" et son "immigration choisie" établit des discriminations, au sein de l'espèce humaine, en fonction de l'utilité des individus pour l'économie française.
* Pour Nicolas Drezet, secrétaire national du Syndicat National Unifié des Impôts, "en matière fiscale, Sarko prépare un saut en arrière d'un siècle", inspiré par les bushistes, et qui est à la fois "injuste socialement et économiquement contre-productif" : bouclier fiscal pour protéger les millionnaires, défiscalisation des plus riches successions patrimoniales, diminution de l'impôt sur les sociétés...
* Pour Samuel Churin, de la Coordination des intermittents, Sarko veut baisser le taux de chômage en réduisant le nombre de chômeurs et d'intermittents indemnisés, pour lesquels il n'a que mépris.
* Pour Emmanuelle Perreux, présidente du Syndicat de la Magistrature, le candidat de la droite dure a "violé à plusieurs reprises le principe de la séparation des pouvoirs" et considère la Justice comme un simple outil au service de sa politique répressive.
* Pour Willy Pelletier, de la Fondation Copernic, Sarko prépare la ratification parlementaire du traité constitutionnel rejeté par 55 % des Français : "Quand le peuple déplaît, on s'en défait !"
* Pour Jean-Pierre Giacomo, président de la Confédération Nationale du Logement, le président de l'U.M.P. "veut accélérer la privatisation du parc locatif social" et encourage la spéculation immobilière.
* Pour Manuel Domergue, du réseau Zone d'écologie populaire, Sarko "menace le vivre-ensemble" par sa politique économique ultra-libérale et darwinienne (malheur aux perdants !) et par un "communautarisme blanc et catholique" qui provoque l'exclusion.
* Pour Marie-Paule Maugis, de Ban public, la "politique répressive" préconisée par l'ex-ministre de l'Intérieur "ne peut garantir une sécurité durable" et est socialement contre-productive, puisqu'elle aggrave la désocialisation et nuit à la réintégration des personnes incarcérées.
* Pour Pierre Cordelier, du Réseau éducation sans frontières, "les lois Sarkozy sur l'immigration sont liberticides et inhumaines" et ce serait "une très mauvaise nouvelle" qu''un personnage aussi "inquiétant" que Sarkozy accède à la présidence.
* Pour Jean-Pierre Dubois, président de la Ligue des Droits de l'Homme, "l'amplification de la politique de Sarkozy serait un cauchemar" et il est urgent de voter "contre le candidat qui veut confisquer les libertés, réduire l'égalité aux privilèges de quelques-uns et la fraternité aux plus forts".
* Pour Didier Ménard, président du Syndicat de la Médecine Générale, "Nicolas Sarkozy met la santé pour tous en péril", en voulant instaurer de nouvelles franchises qui réduiraient encore les remboursements de médicaments.
* Pour Évelyne Perrin, d'Agir ensemble contre le chômage, il faut dénoncer la précarisation qu'entraînerait le "contrat unique" de Sarko : ce serait "un recul sans précédent en matière de droit du travail", et une véritable "casse sociale".
* Pour Nathalie Ferré, présidente du GISTI, l' "immigration suble" du candidat sortant "institue une catégorie d'êtres humains nuisibles" et son "immigration choisie" établit des discriminations, au sein de l'espèce humaine, en fonction de l'utilité des individus pour l'économie française.
* Pour Nicolas Drezet, secrétaire national du Syndicat National Unifié des Impôts, "en matière fiscale, Sarko prépare un saut en arrière d'un siècle", inspiré par les bushistes, et qui est à la fois "injuste socialement et économiquement contre-productif" : bouclier fiscal pour protéger les millionnaires, défiscalisation des plus riches successions patrimoniales, diminution de l'impôt sur les sociétés...
* Pour Samuel Churin, de la Coordination des intermittents, Sarko veut baisser le taux de chômage en réduisant le nombre de chômeurs et d'intermittents indemnisés, pour lesquels il n'a que mépris.
* Pour Emmanuelle Perreux, présidente du Syndicat de la Magistrature, le candidat de la droite dure a "violé à plusieurs reprises le principe de la séparation des pouvoirs" et considère la Justice comme un simple outil au service de sa politique répressive.
* Pour Willy Pelletier, de la Fondation Copernic, Sarko prépare la ratification parlementaire du traité constitutionnel rejeté par 55 % des Français : "Quand le peuple déplaît, on s'en défait !"
* Pour Jean-Pierre Giacomo, président de la Confédération Nationale du Logement, le président de l'U.M.P. "veut accélérer la privatisation du parc locatif social" et encourage la spéculation immobilière.
* Pour Manuel Domergue, du réseau Zone d'écologie populaire, Sarko "menace le vivre-ensemble" par sa politique économique ultra-libérale et darwinienne (malheur aux perdants !) et par un "communautarisme blanc et catholique" qui provoque l'exclusion.
* Pour Marie-Paule Maugis, de Ban public, la "politique répressive" préconisée par l'ex-ministre de l'Intérieur "ne peut garantir une sécurité durable" et est socialement contre-productive, puisqu'elle aggrave la désocialisation et nuit à la réintégration des personnes incarcérées.
* Pour Pierre Cordelier, du Réseau éducation sans frontières, "les lois Sarkozy sur l'immigration sont liberticides et inhumaines" et ce serait "une très mauvaise nouvelle" qu''un personnage aussi "inquiétant" que Sarkozy accède à la présidence.
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